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Au sommaire

Editorial

Un voeu pour 2004 : conserver un haut-fourneau en Wallonie

 

Bruxelles : Grand Prix Europa Nostra

 

Prague : conférence internationale sur Krušnohoři/Erzgebirge (République tchèque/Allemagne)

 

Colloque de l'E-FAITH

 

Bruxelles : encore du patrimoine social qui fout le camp !

 

Mariembourg : Chemin de fer à vapeur des Trois Vallées

 

Wallonie : une meilleure signalisation des sites UNESCO

 

Editorial

Un voeu pour l'année 2014 : conserver un haut-fourneau en Wallonie


Jean-Louis Delaet, président de PIWB

 

 

 

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A la suite de l’industrie charbonnière, la sidérurgie a influencé fortement l’histoire de la Wallonie et a marqué profondément son paysage. Mais la sidérurgie à chaud, principalement la fabrication de la fonte, disparaît aujourd’hui en Wallonie.

Le haut-fourneau était l’outil fétiche du sidérurgiste, l’équivalent du châssis à molettes pour le mineur. Il excitait les imaginations. Pour preuve les nombreux surnoms trouvés pour le désigner : la bête, la bouche à feu, le dragon, le monstre, le titan, la tour de feu ou encore le mastodonte.

En 1960, il y avait 57 hauts-fourneaux presque tous disparus aujourd’hui : 24 à Liège (il en reste 2 à l’arrêt), 5 chez Boël à La Louvière, 5 à Clabecq (il en reste 1 à l’abandon), 2 à Athus dans le Sud-Luxembourg et 21 au pays de Charleroi (il en reste 1 en danger).

Comme les clochers d’église ou comme les beffrois des hôtels de ville, ces monuments industriels se dressent dans le ciel comme un point de repère auquel la population des bassins sidérurgiques s’identifie fortement. Voir disparaître tout haut-fourneau du paysage, ce serait perdre une partie de l’âme de notre région.

D’autres bassins industriels ont montré l’exemple en préservant un ou plusieurs hauts fourneaux parfois insérés dans des complexes sidérurgiques sauvegardés :
- le site de Völklingen, dans la Sarre, classé au Patrimoine mondial de l’UNESCO
- les hauts-fourneaux de Duisburg dans la Ruhr également en Allemagne ;
- le haut-fourneau d’Hattinger aussi dans la Ruhr ;
- le site de Belval à Esch-sur-Alzette dans le Grand Duché du Luxembourg ;
- le parc d’Uckange en Lorraine.

On peut imaginer pour le haut-fourneau conservé :
- un parc paysager aménagé avec des activités nouvelles : entreprises, logements, loisirs après la dépollution des sols ;
- une mise en lumière qui le transformerait dès la nuit tombée en une œuvre d’art ;
- un itinéraire de visite, par un chemin sécurisé jusqu’au sommet du haut-fourneau. Les anciens ouvriers apporteraient aussi un regard émouvant sur la sidérurgie ;
- une programmation culturelle accompagnant la valorisation patrimoniale de ce lieu de mémoire : artistes et créateurs seraient invités à présenter leur travail ou à créer des œuvres uniques.

A Charleroi, les jours semblent être désormais comptés pour le haut fourneau N°4 de Marcinelle, sur l’ancien site de Carsid. Le propriétaire Duferco, les pouvoirs publics et particulièrement les autorités wallonnes et communales doivent prendre leurs responsabilités et choisir une voie qui concilie la préservation de cette mémoire et les enjeux industriels avec le nouvel aménagement de la Porte Ouest de la ville.

Par mesure conservatoire, un groupe de défense s’est constitué ce 13 janvier pour demander son inscription sur la Liste de sauvegarde par le Ministre du Patrimoine. Une pétition est en ligne sur www.petitions24.net/sauvons_le_haut_fourneau_4_de_charleroi

L’enjeu du patrimoine sidérurgique est de taille et concerne toute la Wallonie. Ce sera d’ailleurs l’objet d’un colloque sur le patrimoine de l’industrie lourde du XXe siècle que PIWB organisera en juin prochain en collaboration avec l’Institut du Patrimoine wallon.

Tous nos vœux de santé, de prospérité et de bonheur pour la nouvelle année !

 

Jean-Louis DELAET
Président

 

Actualités

Bruxelles : Grand Prix 2013 du Patrimoine culturel de l’Union européenne/Concours Europa Nostra


Photo Gilles Durvaux

Photo Gilles Durvaux

De gauche à droite : Jozef Van Waeyenberge (Président Europa Nostra Belgium), Karel Bartak (Chef d'unité DG Education&Culture Commission européenne), Guido Vanderhulst (Président de BruxellesFabriques) et Denis de Kergorlay (Président exécutif Europa Nostra). Photo Gilles Durvaux

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La cérémonie locale de remise du Grand Prix du Patrimoine culturel de l’Union européenne/Concours Europa Nostra 2013 – Catégorie 2 (Recherche) qui a récompensé l’étude de BruxellesFabriques (www.bruxellesfabriques.be) relative à la restauration des machines exceptionnelles de l’ancienne brasserie Wielemans-Ceuppens, s’est tenue, le 4 décembre, dans la salle de brassage du WIELS (www.wiels.org).

Karel Bartak, Chef d’unité DG Education&Culture Commission européenne, et Denis de Kergorlay, Président exécutif Europa Nostra, ont loué le travail remarquable entrepris par le président de BruxellesFabriques, Guido Vanderhulst. La cérémonie, regroupant une centaine d’invités, s’est terminée par la visite de la salle des machines du BRASS et une dégustation de bières offertes par les brasseries artisanales de la Senne et Cantillon. Le jury international a estimé l’étude primée particulièrement intéressante, notamment parce qu’elle prévoit un programme de qualification professionnelle pour la restauration (voire la mise en marche) des machines. "Nous sommes très mobilisés autour de la protection et de la promotion de l'héritage culturel de l'union européenne, non seulement par le financement de nombreuses initiatives, mais aussi par l'élaboration de politiques adéquates. La Commission européenne a lancé un nouveau programme Europe Creative* et j'espère que le Prix du Patrimoine culturel de l’UE/Concours Europa Nostra profitera de ce support", a déclaré Karel Bartak.

EN LIGNE : les fiches didactiques relatives aux machines exceptionnelles de l'ancienne brasserie Wielemans-Ceuppens.

*Europe Creative : programme de soutien dans les secteurs créatifs et culturels européens à partir de 2014. La culture européenne, le cinéma, la télévision, la musique, la littérature, les arts du spectacle, le patrimoine et les domaines connexes bénéficieront du soutien accru du programme Europe créative de la Commission européenne, approuvé le 19 novembre par le Parlement européen et le 5 décembre 2013 par le Conseil de l’UE. Avec un budget de € 1,46 milliards d’euros pour les sept prochaines années - 9% de plus qu’actuellement - le programme donnera un nouvel élan aux secteurs culturels et créatifs, qui sont une source importante d'emplois et de croissance.

 

Prague

Rapport sur la conférence internationale portant sur le paysage culturel minier de Krušnohoři/Erzgebirge (République Tchèque /Allemagne) - 11 et 12 novembre


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par Jacques CRUL, secrétaire de PIWB

A la demande de la DG04 et à l'invitation du Ministère tchèque de la Culture et de la Région de Ústí, j'ai participé les 11 et 12 novembre à Prague à une conférence internationale visant à présenter et à soumettre à critique la candidature des Monts métallifères (appelés en tchèque Krušnohoři et en allemand Erzgebirge) situés en Bohème (CZ) et en Saxe (D) à la reconnaissance comme patrimoine mondial de l'Unesco dans la catégorie "paysage culturel".

Ce projet fut initié en 1998 du seul côté allemand, où il fut porté par le Professeur Helmuth ALBRECHT de l'Université de Freiberg, bien connu de l'Administration Wallonne du Patrimoine et des responsables des sites miniers majeurs de Wallonie, pour avoir expertisé nos sites à deux reprises en 2009 et 2011, dans le cadre de notre candidature à la reconnaissance comme patrimoine de l'Humanité. Le projet a évolué en 2009 vers une candidature transfrontalière des Monts métallifères, qui se situent à cheval sur la frontière tchéquo-allemande, en Bohème et en Saxe.

Il concerne 6 entités en République tchèque et 8 en Allemagne, représentant plus de 500 biens. C'est donc un projet de grande envergure, englobant de nombreux sites miniers, mais aussi quantité de bâtiments et monuments, ainsi que du patrimoine immatériel à travers des traditions minières encore bien vivantes de nos jours.
La première journée de la conférence fut consacrée à la présentation du projet, qui devrait être déposé en janvier 2014 par la République Fédérale d’Allemagne (ce point est toutefois encore sujet à caution, la conférence ayant montré l'intérêt de faire déposer le projet par la République tchèque, de façon à éviter un risque de rejet vu que d'autres projets allemands seraient également déposés).

La deuxième journée fut réservée aux sites reconnus Patrimoine mondial de l’Unesco, à savoir les mines de mercure d'Idrija (Slovénie) et Almadén (Espagne), reconnues comme Patrimoine mondial de l’Unesco en 2012, la mine de sel de Wieliczka (Pologne) et les sites miniers majeurs de Wallonie. Un des points de débat a porté sur la définition de "paysage culturel".

L'obligation de dépôt préalable des plans de gestion, qui est maintenant effective, fut présentée comme un point positif, de même que l'établissement d'une association préalable des sites, entités et régions concernées, au sein d'une structure formelle, où le financement apporté par chacun est défini de façon précise.

Les contacts "off" ont été particulièrement riches, notamment avec les trois experts ICOMOS présents, Helmuth ALBRECHT (D), Dušan KRAMBERGER (Slovénie) et Rolf HÖHMANN (D), ainsi qu'avec les équipes tchèques et allemandes qui gèrent la candidature au quotidien, et notamment, avec Mme Jitka VIČKOVÁ, spécialiste au Ministère tchèque de la culture et, plus précisément, à l'institut « Point focal national ».

Deux associations ont été créées pour soutenir le projet : une côté thèque, appelée Montanregion Krušnéhory, groupant 4 villes (Jáchymov, Horní Blatná, Boží Dar, Abertamy), et une côté allemand, appelée Welterbekonvent Erzgebirge (WEK), groupant 35 villes et communes (welterbe.wfe.eu/3_mp/).

Un budget annuel de minimum 1.200.000 € est disponible sur base du financement des entités concernées et il a également été largement fait appel au sponsoring privé. Une équipe de 6 personnes est affectée au projet côté tchèque et 5 personnes côté allemand, Helmuth ALBRECHT non compris. La conférence a également mis en évidence les problèmes spécifiques liés à la gestion patrimoniale des mines souterraines et les participants concernés ont formulé le souhait de pouvoir se rencontrer régulièrement, au moins au niveau européen, pour des échanges d'expériences et de bonnes pratiques en la matière.

 

Neuchâtel/La Chaux-de-Fonds

Colloque de l’E-FAITH - 25 au 27 octobre 2013

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par Jean-Louis DELAET, Président de PIWB

L’E-Faith est la Fédération européenne des associations de patrimoine industriel et technique. Jean-Claude Van Cauwenberghe, président du Bois du Cazier, et Jean-Louis Delaet, directeur du Bois du Cazier et président de PIWB, ont participé à la rencontre qui a réuni une cinquantaine de participants. L’intérêt particulier de la réunion était la préparation du projet d’Année européenne du patrimoine industriel et technique en 2015.

Rappel des buts de l’E-Faith

Il n’y a pas que des associations qui travaillent au sauvetage de l’héritage industriel et technique en Europe mais aussi des universités, des musées, des chercheurs… et des bénévoles. L’E-Faith a la vocation de les regrouper. Pour E-Faith, la société civile se doit de dénoncer le patrimoine industriel menacé et à sauver et de se mobiliser en faveur de leur conservation. Même si l’on vit à une époque de nouvelles technologies, il est essentiel de connaître les origines des techniques et des industries. E-Faith est une plateforme d’échanges, d’expériences pour que chacun sache qu’il n’est pas seul face à ces problèmes et à ces défis. E-Faith regroupe beaucoup d’associations composées de volontaires, sans reconnaissance légale, avec peu de budget, œuvrant autour de thèmes qui ne sont pas réellement populaires.


2015 : Année européenne du patrimoine industriel et technique
A l’initiative de l’E-Faith, plus de 120 associations ont soutenu le mémorandum demandant au Conseil de l’Europe de décréter 2015, Année européenne du patrimoine industriel et technique.
Un rapport du 15 décembre 2012, de Madame Ismeta DERVOZ (Bosnie Herzegovine – PPE) au nom de la Commission Culture, de la science, de l’éducation et des médias de l’Assemblée parlementaire, adresse aux décideurs nationaux un certain nombre de recommandations concrètes afin de préserver pour les générations futures l’héritage de l’ère industrielle européenne.
Au niveau européen, l’Unesco et l’Union européenne sont invités à coopérer avec le Conseil de l’Europe pour concevoir un label européen du patrimoine industriel et soutenir la campagne menée par la Fédération européenne des associations du patrimoine industriel et technique (E-Faith) pour faire de 2015, une année dédiée au patrimoine industriel.
Un important lobbying reste nécessaire pour obtenir une délibération en ce sens des autorités européennes. Certaines pistes d’action sont à envisager : Comité des Ministres, Ambassadeurs auprès du Conseil de l’Europe, Congrès des pouvoirs locaux et régionaux.
D’une manière générale, ce colloque fut intéressant car il a permis de mesurer la diversité des efforts, en Europe, pour tenter de sauvegarder les composantes matérielles et immatérielles du patrimoine industriel, élément essentiel de l’identité commune européenne, façonnée au fil de l’histoire grâce à de fructueux échanges de compétences, de savoir-faire, de technologie et de procédés par-delà les frontières nationales.

Pour en savoir plus : www.e-faith.org

 

Bruxelles

Encore du patrimoine social qui fout le camp !


 

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C’était une maison jaune adossée à deux immeubles de style incertain, au coin du quai des Péniches N°50 et de la rue de la Dyle. Le Café de la Clef était le nom de la maison jaune en 1931. Elle était le seul immeuble qui subsistait d’un front bâti comprenant des maisons du même type, entre entrepôts et magasins. Elle était composée de quatre niveaux dont des combles et des caves. Le WC était, comme la tradition le voulait, sur le palier. Chacun des trois étages présentait quatre pièces autonomes, disposant d’un conduit de cheminée, et accessibles par un petit couloir. Les combles mansardés présentaient également une même disposition (quatre pièces avec cheminées). Les fenêtres avec vue imprenable sur le Quai des Péniches disposaient d’un balcon. Quant au rez-de-chaussée, il a toujours été un débit de boissons, bien fréquenté.

L’immeuble a été construit en 1911, au moment de la construction du Bassin de la Jonction, devenu Bassin Béco, quand les activités portuaires ont quitté le Pentagone pour le Port Maritime de Bruxelles. La destination du bien, à partir de la disposition des pièces et de leur accès, était clairement la location de chambres isolées. Le rez-de-chaussée, un bistrot qui avait conservé ses bancs de chênes d’époque, a certainement connu des heures glorieuses avec les dockers, bateliers, agents en douanes et courtiers, ouvriers, marchands de matériaux et de charbon et autres gais lurons fréquentant les quais.

Le terrain appartenait à un certain Wielemans qui inscrit le bien dans la société WIELEMANS-CEUPPENS, en 1930, avant de le reprendre à son nom propre en 1962. C’est donc lui qui a construit l’immeuble. Il faudrait écrire l’histoire de cette famille de brasseurs bruxellois qui contrôlait un nombre incroyable de débits de boissons avec exclusivité d’approvisionnement. Cette maison est la démonstration que la famille achetait et construisait aussi des bistrots.

La Maison jaune, jusque sa fin, était louée à titre précaire par de jeunes artistes et étudiants. Ceux-ci l’entretenaient parfaitement. Une modernisation s’imposait pour notamment une mise en conformité en terme de sécurité. C’était jouable. Les chambres auraient pu être aménagées pour le même type de public jeune et le bistrot du rez-de-chaussée aurait retrouvé sans difficultés sa vocation première de lieu de rencontres. Un promoteur l’a rasée pour prolonger ses constructions attenantes.
Dans le milieu "alternatif" de Bruxelles, ce café a été très connu, ces dernières années. Le Cinéma Nova lui a rendu hommage.
www.nova-cinema.org/spip.php?rubrique1823

Pour plus de souvenirs, tapez "compilothèque" dans votre moteur de recherche. 

 

Mariembourg

Le Chemin de fer à vapeur des Trois Vallées a quarante ans


Photo Gilles Durvaux

Photo Gilles Durvaux

Photo Gilles Durvaux

Photo Gilles Durvaux

Photo Gilles Durvaux

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Ces 19, 20 et 21 septembre, l’association avait mis les petits plats dans les grands, à l’occasion de son 40ème anniversaire. Ce ne sont pas moins d’une douzaine de locomotives à vapeur qui étaient présentées sous pression, à la grande joie d’un public venu en nombre. Détail remarquable, la majorité de ces locomotives était issue de notre industrie ferroviaire nationale, qui comme on le sait, avait acquis une réputation mondiale en matière de construction de matériel roulant.

Un reportage photographique de Gilles Durvaux, administrateur de PIWB.

C.F.V.3.V.
Chaussée de Givet 49-51
B-
5660 Mariembourg
cfv3vmariembourg@skynet.be
Tél. 060 31 24 40

Musée ferroviaire
Plateau de la gare 1
B-5670 Treignes
cfv3vtreignes@skynet.be
Tél. 060 39 09 48


 

Wallonie

Signalisation des sites wallons reconnus au Patrimoine mondial de l’Unesco

 

 

 

 

 

 

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Afin d’assurer la visibilité et la promotion de ces sites exceptionnels et d’aiguiller au mieux les visiteurs, le Ministre wallon des Travaux publics et du Patrimoine Carlo DI ANTONIO a décidé d’équiper tous les sites wallons reconnus par l’UNESCO d’une signalétique « Patrimoine mondial de l’UNESCO » spécifique. Elle sera placée aux abords des autoroutes et des routes régionales pour les sites concernés.


La Wallonie dispose de plusieurs sites reconnus au Patrimoine mondial de l’UNESCO :
- les beffrois de Binche, Charleroi, Mons, Thuin, Tournai, Gembloux et Namur ;
- la Cathédrale Notre-Dame de Tournai ;
- les quatre ascenseurs du canal du Centre et leur site ;
- les minières néolithiques de silex de Spiennes, classés en 2000 ;
- les sites miniers majeurs de Wallonie (Bois du Luc, Bois du Cazier, Blegny Mine, Grand Hornu).

Pour Carlo DI ANTONIO, « la reconnaissance de l’UNESCO constitue une véritable opportunité pour notre Région et pour les différents sites, puisque moins de mille biens à travers le monde jouissent d’une telle reconnaissance ».Toutefois, pour que ces sites soient connus et visités, encore faut-il qu’ils soient bien renseignés et accessibles, ce qui n’est pas toujours le cas aujourd’hui. Désormais, les sites exceptionnels de Wallonie seront signalés par des panneaux de signalisation touristique. Ces panneaux seront équipés d’un logo commun « UNESCO » et seront apposés sur tous les itinéraires entre les principaux accès et sorties autoroutiers et chaque site concerné (2 itinéraires maximum dans un rayon de 10 km). Les sites reconnus au Patrimoine mondial de l’UNESCO seront également indiqués sur les panneaux d’itinéraire existants. La mise en place de cette signalétique se fera dès la fin du printemps 2014.

 

 


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